Durant ma carrière, j’ai eu l’occasion de participer à plusieurs reprises à des dues diligences, y compris plus récemment à la demande de clients dans le cadre d’acquisitions qu’ils projetaient.
C’est de cette manière qu’on qualifie ce qui est en fait est un examen approfondi et systématique pour évaluer la viabilité, la performance et les risques associés à une entreprise, un projet ou une transaction spécifique.
Nous avons toujours travaillé de manière pluridisciplinaire, en nous répartissant les rôles en fonction de nos différentes expertises, pour couvrir les différents champs d’intervention :
- Finance/comptabilité
- Juridique
- Aspects opérationnels
- Volet commercial, tant sur les aspects clients/fournisseurs que complémentarité ou au contraire problèmes potentiels dans les gammes de produits
- Ressources humaines
- Environnement
- Qualité et sécurité
Pour que le process soit efficace cela suppose une méthodologie rigoureuse, que l’on sache quels documents sont indispensables, d’y passer le temps nécessaire pour analyser les choses.
Parce que les due diligences ne sont pas seulement pas un prérequis dans une opération d’acquisition.
L’objectif est aussi d’avoir le plus tôt possible une vision claire de la société (ou du fonds de commerce) que l’on va acquérir, pour travailler simultanément sur la garantie de passif et surtout anticiper l’avenir.
Puisqu’une fois la cible acquise, il faudra l’intégrer et davantage les problématiques liées à l’intégration auront été anticipées, mieux celle-ci se déroulera.